VOIR LE MONDE DANS UN GRAIN DE SABLE...
Les featurings entre la Toei Animation et Kenji Nakamura, réalisateur qui a de la suite dans les idées, offrent toujours d'intéressantes surprises. L'histoire d'un anime barré, c'est un peu près comme ça qu'on nous vend Kuchu Baranko de prime à bord. On pense à l'anime prétentieux qui scande l'originalité pour l'originalité sauf que la série malgré ses allures d'ovni avec un pet au casque, est en fait particulièrement bien pensée, de la première jusqu'à la dernière minute. Kuchu Baranko prend la forme d'une suite de nouvelles anecdotiques comme dans Natsume Yuujinchou. À la différence qu'au lieu de moments de blanc propices à la contemplation, la jolie musique et la poésie facile, ( Je [...] Lire la critique