Noragami, comment dire, si je m'adonnais à une analogie culinaire, je l'assimilerai a un bon cassoulet des familles.
Le cassoulet, c'est bien aimable, c'est bon, cela contente son monde et à la base c'est un met relativement simple pour faire un peu la fête tout en recyclant tout les petits restes de la veille, hein c'est un peu de la petasserie tout cela.
Bon non pas que cela soit gras, ce qui est d'ailleurs heureusement point le cas mais niveau recyclage oula cela ne s'est pas escagasse pour deux ronds chez Bone.
Que je t'ai repris tout les petits restes de charac design des dix dernières années, surtout pour les clampins de seconds plans. Nous avons la une jolie collection de tromblon bien recycles (la déesse de l'infortune par exemple).
Mais voila, les tromblons que l'on connait c'est un peu comme le spectacle de guignol quoi, on remet les bobines et connait leur trafics à ces esbigues la. Et ce yato, dieu mineur qui est tout cagagnoùs qu'il en est sympa ce péïzoùs.
Je ne vais pas vous la péter ni plus vous escagasser que nécessaire, jusque la, j'vous donne l'impression que c'est pas bon voir même presque de l'estouffadou mais non. Tiens le principale, l'histoire, la il ne l'ont pas mascagné, elle reste intéressante sans perdre le spectateur qui peut capter facile. Je te soulignerai juste que niveau originalité, ce n'est pas réellement quileur.
Bref
Noragami ca vous tient au corps et vous réchauffe comme le cassoulet, c'est pas de la grande cuisine mais cela contente son monde en somme.
ps: Et j'ose espérer que lecteur tu me passeras cette digression et petit amusement à écrire cette petite brève en abusant de l'argot toulousain.