EIKEN détient la palme d'or de l'aberration, il est donc obligatoire d'en écrire une critique pour honorer son statut. Commençons donc.
Le design des filles se résume à deux pastèques en plein milieu de la poitrine et des cheveux arc-en-ciel, autant vous dire que vous en voyez de toutes les couleurs. N'empêche, ça ne m'étonnerais pas que ces demoiselles chopent un lumbago, faut les comprendre, c'est pas facile de porter 10 kilos de poitrine tous les jours. Le héros... je l'ai déjà oublié, pardonnez sa présence et son charisme aussi important qu'une huître.
Le scénario est à la hauteur du design, informe. J'ai eu l'impression qu'on me prenait pour un imbécile doublé d'un gros pervers, grand moment de solitude ^^. Je retiendrai tout de même quelques moments cultes dans leur genre, comme celui du toboggan, qu'il faut voir de ses propres yeux tant les mots ne suffisent pas pour s'imaginer la scène.
A voir pour les grands curieux qui n'ont rien à regarder, EIKEN est une expérience éprouvante mais tellement osée qu'on en ressortirait presque changé.